vous proposez une belle ligne musicale pour « le Bleu des Bleuts » Avez-vous un accompangement complet de piano pour voix seule? Merci beaucoup de me répondre
Bonjour Monsieur Bertrand,
Vous nous aviez contactés voici quelques années au sujets d’enregistrements de titres de Marcel Legay faits par deux de nos adhérents de Lille (Denis Cacheux-Anne Cuvelier).
Nous aimerions reprendre contact avec vous au sujet d’une photo de Marcel Legay.
Salutations cordiales et musicales.
Bonjour Monsieur Arnaud Moyencourt,
Non seulement je vous avais contacté mais surtout vous aviez eu l’extrême gentillesse de m’envoyer une copie du CD « Moi J’m’en fous » de Denis Cacheux et Anne Cuvelier. Encore mille fois merci.
Je vous envoie ce jour un courriel pour poursuivre notre discussion.
Amitiés chansonnières,
Yves Bertrand.
Bonjour, je possède un livre album « Toute la Gamme » de Marcel Legay, dédicacé par l’auteur le 18 mars 1886. Je souhaiterais le vendre mais je ne sais pas à qui m’adresser. Pourriez-vous me conseiller ? Merci d’avance. Bien cordialement. E. CALDERON
Bonjour Madame Calderon,
Je possède moi-même deux exemplaires de l’album « Toute la Gamme » (éditions Brandus, Paris, 1886) dont l’un comporte une dédicace de Marcel Legay à son beau-frère Ernest Berthet (mon grand-père).
Sur les sites de vente en ligne, on trouve actuellement deux exemplaires mais il s’agit de rééditions de 1900 par un autre éditeur. Ces albums sont proposés à 200 et 250€.
Pour ce qui concerne votre exemplaire, je suis très étonné de la date de la dédicace que vous me signalez, 18 mars 1886, sachant que l’album ne sortira qu’en décembre de cette même année 1886.
Si cette date est clairement lisible, sans ambiguïté, alors il est possible que Marcel Legay se soit trompé.
Une autre hypothèse serait que votre exemplaire soit en fait un pré-tirage de l’éditeur, mais quand même, 9 mois avant la parution publique, ça me paraît être trop long.
Pourriez-vous me donner le contenu exact de cette dédicace et, si possible, la personne à qui elle était destinée ?
Cela pourrait peut-être nous éclairer.
Bien cordialement,
Yves Bertrand.
Ex-président de l’AAKPPA, et toujours webmaster de kpl-infos.fr (Kénitra/Port-Lyautey), en recherchant sur le web, je trouve cette page qui me donne un « Jukebox » à domicile. J’y retrouve ma propre collections de 45 t. Merci.
Je dois me situer (1940) dans l’âge de votre frère Marc, mais le nom de Bertrand ne m’interpelle pas pour le moment.
Quel établissement scolaire ou autre (base, caserne) auriez-vous fréquentés à l’époque. En plus du Lycée Abdelmale As-Saadi, dans quelle arme était affecté votre papa ?
Bien content, Henri.
Bien votre site.
Bonjour,
Je suis absolument ravi de votre message.
Comme vous l’avez peut-être constaté les pages « playlist des 1950’s » ne sont pas directement liée à mon grand-oncle, le chansonnier Marcel Legay (1851-1915).
Quoique ça puisse se discuter, le point commun restant ma passion pour la chanson.
Je vous propose de continuer notre échange par courriel.
Je vais vous contacte sans tarder.
Merci pour vos retours positifs et bonne journée à vous.
Recherchant quelque chose sur les Rosatis… de fil en aiguille je suis arrivé sur votre site, et sur cette chanson que je chantais avec ma mère autrefois, souvent sur les routes du Pas-de-Calais.
Je l’ai écoutée, puis j’ai lu les paroles et, là, ma surprise a été totale…
Je pensais que cette chanson, Nord oblige (!), commençait par…
Enfant à la mine asservi…
Je souris avec émotion.
Cordialement à vous.
Denis Lefebvre (natif d’Arras…)
Bonjour Monsieur Lefebvre,
Votre commentaire me fait grand plaisir.
Il se trouve que, il y a tout juste une semaine, au cours d’une conférence à Muret (près de Toulouse), j’expliquais justement le double sens que Marcel Legay avait mis dans le tout premier vers « Enfant, à l’âme inasservie » de sa chanson « Ecoute, ô mon cœur », premier vers qui s’entend aussi comme « Enfant à la mine asservi ».
Il est vrai que mon grand-oncle avait un esprit libertaire (une « graine d’ananar », disait Léo Ferré), et donc, « une âme inasservie ».
Mais il est vrai aussi que ses parents étaient porions dans la mine et que, bien qu’il n’ait pas été lui-même un « enfant à la mine asservi », il connaissait très bien les conditions de travail des enfants du Pays d’Artois.
Cette chanson est magnifique. Elle exprime parfaitement la nostalgie du pays natal. D’autres cultures appellent ça « le blues » ou « la saudade ». Et même s’il s’agit ici du Pays d’Artois, elle peut aisément se transposer mentalement – sans en changer un seul mot – à la nostalgie de son propre pays natal.
C’est d’ailleurs ce qu’a fait un jeune gars de chez nous (Le Languedoc) en en proposant une version actuelle tout à fait respectueuse de cet état d’esprit.
Si ça vous dit vous pourrez l’écouter sur ma chaîne YouTube « Les chansons de Marcel Legay » : https://www.youtube.com/channel/UCCsq3IP6QFXOql7AxOud_BQ
ou directement : Ecoute, ô mon cœur par Julien Noël : https://youtu.be/5zqDV0f_-9s
Je double cette réponse d’un courriel à votre adresse mail.
Merci encore pour votre commentaire,
Yves Bertrand.
Bonjour,
vous proposez une belle ligne musicale pour « le Bleu des Bleuts » Avez-vous un accompangement complet de piano pour voix seule? Merci beaucoup de me répondre
MC.Storbeck
Bonjour Monsieur Bertrand,
Vous nous aviez contactés voici quelques années au sujets d’enregistrements de titres de Marcel Legay faits par deux de nos adhérents de Lille (Denis Cacheux-Anne Cuvelier).
Nous aimerions reprendre contact avec vous au sujet d’une photo de Marcel Legay.
Salutations cordiales et musicales.
Bonjour Monsieur Arnaud Moyencourt,
Non seulement je vous avais contacté mais surtout vous aviez eu l’extrême gentillesse de m’envoyer une copie du CD « Moi J’m’en fous » de Denis Cacheux et Anne Cuvelier. Encore mille fois merci.
Je vous envoie ce jour un courriel pour poursuivre notre discussion.
Amitiés chansonnières,
Yves Bertrand.
Bonjour, je possède un livre album « Toute la Gamme » de Marcel Legay, dédicacé par l’auteur le 18 mars 1886. Je souhaiterais le vendre mais je ne sais pas à qui m’adresser. Pourriez-vous me conseiller ? Merci d’avance. Bien cordialement. E. CALDERON
Bonjour Madame Calderon,
Je possède moi-même deux exemplaires de l’album « Toute la Gamme » (éditions Brandus, Paris, 1886) dont l’un comporte une dédicace de Marcel Legay à son beau-frère Ernest Berthet (mon grand-père).
Sur les sites de vente en ligne, on trouve actuellement deux exemplaires mais il s’agit de rééditions de 1900 par un autre éditeur. Ces albums sont proposés à 200 et 250€.
Pour ce qui concerne votre exemplaire, je suis très étonné de la date de la dédicace que vous me signalez, 18 mars 1886, sachant que l’album ne sortira qu’en décembre de cette même année 1886.
Si cette date est clairement lisible, sans ambiguïté, alors il est possible que Marcel Legay se soit trompé.
Une autre hypothèse serait que votre exemplaire soit en fait un pré-tirage de l’éditeur, mais quand même, 9 mois avant la parution publique, ça me paraît être trop long.
Pourriez-vous me donner le contenu exact de cette dédicace et, si possible, la personne à qui elle était destinée ?
Cela pourrait peut-être nous éclairer.
Bien cordialement,
Yves Bertrand.
Ex-président de l’AAKPPA, et toujours webmaster de kpl-infos.fr (Kénitra/Port-Lyautey), en recherchant sur le web, je trouve cette page qui me donne un « Jukebox » à domicile. J’y retrouve ma propre collections de 45 t. Merci.
Je dois me situer (1940) dans l’âge de votre frère Marc, mais le nom de Bertrand ne m’interpelle pas pour le moment.
Quel établissement scolaire ou autre (base, caserne) auriez-vous fréquentés à l’époque. En plus du Lycée Abdelmale As-Saadi, dans quelle arme était affecté votre papa ?
Bien content, Henri.
Bien votre site.
Bonjour,
Je suis absolument ravi de votre message.
Comme vous l’avez peut-être constaté les pages « playlist des 1950’s » ne sont pas directement liée à mon grand-oncle, le chansonnier Marcel Legay (1851-1915).
Quoique ça puisse se discuter, le point commun restant ma passion pour la chanson.
Je vous propose de continuer notre échange par courriel.
Je vais vous contacte sans tarder.
Merci pour vos retours positifs et bonne journée à vous.
Yves.
Confiné chez moi, à Montpellier.
Juste pour un essai de fonctionnement…
Recherchant quelque chose sur les Rosatis… de fil en aiguille je suis arrivé sur votre site, et sur cette chanson que je chantais avec ma mère autrefois, souvent sur les routes du Pas-de-Calais.
Je l’ai écoutée, puis j’ai lu les paroles et, là, ma surprise a été totale…
Je pensais que cette chanson, Nord oblige (!), commençait par…
Enfant à la mine asservi…
Je souris avec émotion.
Cordialement à vous.
Denis Lefebvre (natif d’Arras…)
Bonjour Monsieur Lefebvre,
Votre commentaire me fait grand plaisir.
Il se trouve que, il y a tout juste une semaine, au cours d’une conférence à Muret (près de Toulouse), j’expliquais justement le double sens que Marcel Legay avait mis dans le tout premier vers « Enfant, à l’âme inasservie » de sa chanson « Ecoute, ô mon cœur », premier vers qui s’entend aussi comme « Enfant à la mine asservi ».
Il est vrai que mon grand-oncle avait un esprit libertaire (une « graine d’ananar », disait Léo Ferré), et donc, « une âme inasservie ».
Mais il est vrai aussi que ses parents étaient porions dans la mine et que, bien qu’il n’ait pas été lui-même un « enfant à la mine asservi », il connaissait très bien les conditions de travail des enfants du Pays d’Artois.
Cette chanson est magnifique. Elle exprime parfaitement la nostalgie du pays natal. D’autres cultures appellent ça « le blues » ou « la saudade ». Et même s’il s’agit ici du Pays d’Artois, elle peut aisément se transposer mentalement – sans en changer un seul mot – à la nostalgie de son propre pays natal.
C’est d’ailleurs ce qu’a fait un jeune gars de chez nous (Le Languedoc) en en proposant une version actuelle tout à fait respectueuse de cet état d’esprit.
Si ça vous dit vous pourrez l’écouter sur ma chaîne YouTube « Les chansons de Marcel Legay » : https://www.youtube.com/channel/UCCsq3IP6QFXOql7AxOud_BQ
ou directement : Ecoute, ô mon cœur par Julien Noël : https://youtu.be/5zqDV0f_-9s
Je double cette réponse d’un courriel à votre adresse mail.
Merci encore pour votre commentaire,
Yves Bertrand.